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Amen Bank a célébré mardi 18 octobre 2016, le lancement du nouveau fonds commun de placement AFRICAMEN, qui est un fonds à risque dont la taille est de 30 MD. Ce fonds est géré par Amen Bank et souscrit par la banque, la caisse des Dépôts et consignations (CDC), Poulina Group Holding ainsi que la STAR. La mission de ce fonds est d’apporter des financements en capital aux entreprises tunisiennes qui ont un modèle économique déterminé et qui expriment le souhait d’accélérer le développement de leur activité sur les marchés porteurs africains.

Sur la place de Tunis, la monnaie unique s’est traitée à 3.2150 tandis que le billet vert s’est échangé à 3.2050 et ce, respectivement contre le dinar tunisien. La paire phare se négocie quant à elle sur le Forex à 1.0065.*

Les cours pétroliers repartent à la hausse mais le rebond est limité . Le brent reprend 0,66% à 100,15 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate) 0,76% à 96,57 dollars, après avoir perdu respectivement 7,1% et 7,9% mardi.

**Ces cours concernent les transactions entre banques sur le marché interbancaire de Tunis.

L'indice Tunindex s'est inscrit une nouvelle fois dans le vert au terme de la semaine du 07 au 11 mars, marquée par l'attaque terroriste sur la ville de Ben Guedane qui a couté la vie à 7 civils et 11 membres des forces de l'ordre qui ont éliminé au total 49 terroristes et arrêté 8 autres. Après trois baisses et deux progressions, l'indice phare de la BVMT affiche un bilan positif de 0,57% à 5457,71 points, pour atteindre +8,24% depuis le début de l'année. Le Tunindex 20 s'offre à son tour un gain de 1,26% à 2290,51 points et remonte à 8,36% YTD.

Selon les données du FMI, le prix moyen du sucre est à son plus haut niveau au mois d’octobre, depuis au moins deux décennies. Une tonne s'échange à plus de 700 francs (suisse) sur le marché mondial, alors qu'elle en valait moins de 300 avant la pandémie.

Cette hausse des prix est notamment due aux imprévus climatiques, en particulier une sécheresse en Inde et des inondations au Brésil, deux des plus gros producteurs de sucre au monde. À cela s'ajoute la hausse des coûts de l'énergie.