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Une étude récente menée par des Nations Unies et  le Bureau du Conseiller spécial pour l'Afrique estime qu'il est grand temps de redéfinir le rôle de la micro finance dans le développement de l'Afrique. La micro-finance n'est en effet pas une formule magique : à elle seule, elle ne peut transformer l'économie africaine soumise à diverses contraintes structurelles. En fournissant une gamme de services financiers aux plus nécessiteux (aux pauvres, y compris des crédits pour les petites et micro-entreprises).

La valeur ajoutée du secteur de l’agriculture et de la pêche a enregistré une augmentation importante de 11,9% durant le premier trimestre de 2018, selon le communiqué publié par le ministère du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale.

Lors d'une réunion tenue à Washington aux États-Unis, dans le cadre des réunions de printemps du Fonds monétaire international et du Groupe de la Banque mondiale, le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Fethi Nouri a mis l’accent sur l'importance de revoir les mécanismes de financement visant à soutenir les pays confrontés à des difficultés économiques, qu'elles soient conjoncturelles ou structurelles, afin de les adapter à leurs politiques nationales et de préserver la souveraineté de ces pays.